A World of believers

In our modern democracies, the individual feels free whereas (s)he has become a meek sheep, led by invisible shepherds who do not want to him(her) any good. Formatting of minds by lie and misinformation is everywhere and in the first place at school, in the universities and of course in the media. Unfounded faiths keep imposing their schemes into our minds in many ways. Should they be religious, philosophic, or stemming from a false medical cience, or political, etc, all of them are polluting our minds with faiths and paradigms which do not belong to us. They all act as mental matrixes (and consequently physical as well).

We laugh at religious faiths which formerly subdued meek and obedient people, we laugh at ayatollahs, talibans and other fanatics but why can’t we realize how enslaved and conditioned we’ve become within our own minds (and lifestyles) ? Consumerism and materialistic scientism are probably the most dangerous faiths we meekly adhere to nowadays.

 Esclaves complices du tyran

Être instruit et intelligent n’empêche pas de fonctionner comme des robots lorsque l’on intellectualise tout, et si l’on est incapable de penser par soi-même. La volonté des dominants s’imprègnent dans une masse devenue adepte de fausses vérités qui la rende servile et lui fait perdre tout bon sens. Convaincu d’avoir raison, le croyant, comme un perroquet, répète les mensonges qui lui ont été inculqués. Ainsi les croyants intolérants qui manquent de discernement, montrant du doigt ceux qui sortent du cadre de la pensée unique, forment, hélas, la majorité de notre société actuelle. L’esclave devient complice du tyran.

L’évolution vers plus de conscience est entravée par des croyances malsaines bien entretenues, par une nourriture débilitante, drogues pharmaceutiques et autres. A cela ce rajoute les divertissements médiatiques, les sports de masse, les jeux vidéo, de toutes sortes de systèmes abêtissant destinés à anéantir toute résistance pour créer les conditions d’une servitude volontaire. Dépossédé de ses moyens, le croyant devient victime, subit la vie, perd sa santé, sa joie de vivre. La diffusion massive d’informations négatives, inutiles et déprimantes n’est pas sans conséquence. Encore une façon subtile de maintenir les individus sous contrôle et permettre aux hommes de pouvoir assoir leur domination. Pour ne plus être manipulable, développons notre esprit critique, apprenons à nous brancher sur notre radio intérieure, à écouter la voix de notre conscience. La liberté se bâtit à mesure que nous prenons conscience de nous-mêmes, de qui nous sommes réellement au-delà des apparences.

Veillons à la qualité de nos pensées

La négativité est le mal du siècle. Lorsque nous sommes nombreux à ne voir que le négatif dans ce monde, à émettre des pensées de peur, de soucis, de doutes, d’émotions perturbantes, elles vont grandir dans le flot de pensées de tout le genre humain et nous sont retournées en nous apportant plus de mal être. Nos pensées sont créatrices mais nous créons, la plupart du temps, inconsciemment Quoi que nous pensons, l’univers nous donne systématiquement raison. Il interprète notre attention portée sur le négatif, nos mauvaises pensées, notre impuissance et nos peurs comme l’expression de notre désir. Nous anéantissons notre bien être sous des tas de pensées négatives et de soucis. Prisonnier de pensées négatives et limitées, nous sommes rarement dans la plénitude, l’amour, la bonne santé.

Nous récoltons ce que nous semons.

Il est donc très important de surveiller nos pensées. Une nourriture vitalisante, la respiration consciente augmentent nos facultés de perception sur tous les plans.

Nous sommes reliés à tout ce qui vit et vibre dans l’univers

Lorsque nous pensons positivement, nous émettons des ondes positives qui élèveront nos vibrations et qui élèveront aussi les vibrations de tout ce qui nous entoure. Comprendre et sentir que la force de nos pensées, alliée à la puissance de notre imagination, crée notre réalité. Nous avons donc un outil formidable pour changer notre existence et les effets pourront être considérables sur l’évolution de notre société et notre planète si mal en point.
Pour changer le monde, commençons par nous changer nous-mêmes.

Bâtir un monde meilleur est possible. Chacun de nous peut le créer à l’intérieur de lui en lâchant ses pensées négatives, ses peurs, ses doutes et en débloquant ses résistances, ses conditionnements auxquels se mêlent les interdits hérités de l’enfance. Nous pouvons rendre notre vie plus légère, plus facile, plus joyeuse. Notre futur dépend du regard que nous portons sur notre présent. Par nos pensées et notre état d’être, nous générons les événements qui nous arrivent. Donc nous en sommes entièrement responsables des événements de notre vie.

Tant que nous restons en conflit avec une situation nous serons en souffrance. Rien ne s’arrangera si nous ne changeons pas notre état d’être. Dans l’acceptation de ce qui nous arrive, nous nous donnons la possibilité de rester positif et serein. Plus nous sortons de la tête pour nous rapprocher du cœur, plus notre vision intérieure deviendra profonde. Par une vision claire et forte plus maîtriseront notre vie. Dans cette transformation intérieure vers plus de souveraineté individuelle, détaché de l’opinion du grand nombre, chacun de nous pourra s’épanouir pleinement.

 Le mal être est l’expression d’un vide intérieur.

Nous avons trop souvent tendance à chercher le bonheur à l’extérieur : dans la course à la promotion sociale, dans la relation à l’autre, la richesse alors que les clefs du bonheur se trouvent à l’intérieur de nous. En contactant notre véritable Être qui est d’essence Divine, nous ferons émerger la joie de vivre.
Chacun de nous a la possibilité de contribuer à l’évolution de la conscience planétaire. Chaque individu en paix avec lui-même fait un cadeau au monde entier./p>

René BICKEL

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.